Jehial

Off

23 octobre 2007

J'arrive à respirer.

Publié par Jehial

Je me sens étrange.. J'ai completement besoin de lui donner mon amour.. Et en plus, j'ai même envie d'en donner à mon entourage.. Ne serait-ce que des petites attentions.. De la gentillesse..
Aurait-elle reussi à eveiller tout ce qui restait bloqué en moi ?


Je me sens vivre et mon coeur palpite. J'ai besoin de la voir en face de moi, de la sentir contre moi, d'échanger des paroles attentionné, de doux baisers.. Mon dieu que j'en rêve.. Je veux m'offrir à elle.

La grosse plaie qui s'etait formé dans ce coeur noir de mal être et de douleur commençait à se renfermer. Laissant à l'interieur un amas de frustration, de solitude.. De manque et d'autres choses dont je pourrais faire une longue liste interminable.
Tandis que d'autres avait essayé de réouvrir cette plaie afin de l'assainir, il a suffit qu'elle me regarde droit dans les yeux pour qu'elle se laisse se denouer. Elle a réouverte cette plaie et a loger dans mon coeur tout ce qui me manquait tant, laissant s'enfuir toutes ces ondes négatives dont j'ai pu faire l'eloge précédemment.

Je me sens froid sans toi, vide, tendu. Reviens moi..


3 octobre 2007

A contre courant.

Publié par Jehial


Voilà une décision qui a été dure à prendre. J'ai essayé de me séparer de ce blog plusieurs fois en quelques mois, je l'ai laissé à l'abandon, j'ai simulé une supression.. Je suis parti, je suis revenu.. Mais je reste, c'est sur. Ce bout de web est beaucoup trop important à mes yeux.


J'ai d'abord voulu m'en séparer parce que j'avais envie de changement, mais j'ai commis par la suite une faute d'inatention qui à fait en sorte que tu tombes ici. Je m'adresse directement à toi, Maman, car je sais que tu liras cet article comme tu as pu en lire d'autres. C'est vrai, ça me gène que tu lises les écrits de ma vie intime, je me suis senti violé par le fait que c'est vraiment très personnel comme tu as pu le remarquer, mais après tout, maintenant que c'est fait, je préfère assumer et continuer mon récit. C'est vrai que depuis qu'on se voit moins, tu sais peu de chose sur ce qui se passe dans ma tête, j'ai changé et tu as su t'accrocher au seul moyen de me connaitre vraiment. J'ai ressenti une trahison au début, quand j'ai su que tu étais venu ici mais après tout, tu ne savais rien du contenu de ce blog et comme toute mère se respectant, tu as voulu jeté un coup d'oeil, puis un deuxième, un peu plus douloureux. Oui, car sur ce blog, j'ai décris des souffrances, certaines te concernant. Sache, surtout, que ce sont les mots d'un fils cherchant desespérement l'amour maternel. Des phrases leitmotiv d'un jeune homme perturbé et haineux envers les gens qui ont produient tous ces manques. Des mots (maux?) d'un garçon paumé. L'âge de raison est arrivé tôt ou tard, quoiqu'il en soit, le passé c'est le passé, on ne peut rien y changer. J'espère que tu ne m'en voudra pas.

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Tout ça pour dire que ce blog est de nouveau en marche, avec, en prime, un nouveau design (pas tout à fait au point encore ) et une nouvelle galeries photos disponible et accessible via le menu en haut de page.

20 septembre 2007

Et on se demande toujours c'que je fous là.

Publié par Jehial



monsieur.connard vous a manqué ? :)


3 septembre 2007

Ca colle parfaitement avec mon nouveau titre.

Publié par Jehial


«Sur des airs électriques,  j'ai l'esprit qui divague.»

Un nouveau départ ? Oui, un nouveau cumul de choses qui ne produit qu'un Encore à dissimuler. Dans les méandres de l'âme les laisser. C'est parfois tout cela qu'on vient à regretter, et l'on se demande pourquoi. Pourquoi est une question à lui tout seul. Il est le mot, et le silence. La question. Il est sans point d'interrogation. L'interrogation lui-même. Pourquoi et on hausse les épaules. Pourquoi est sans réponse. Pourquoi serait une réponse lui-même si l'on ne forçait la réponse.

«Il ne satisfait pas.»

Alors je me dis Parce que. Je m'en contenterais. Je ne chercherais pas. J'ai les maux qui s'emmêlent et les doigts qui s'entrecroisent. Le tapotement sur le clavier est plus fort que le son qui martèle mes oreilles depuis plus d'une heure. Dans ma tête, un pivert cogne sur le tronc de mes envies, et le bucheron à coups de hache réguliers assassine l'arbre de vie.

«La brume reprend sa place dans ce tumulte. Dans ce mélange de tout autre que moi

Il y a ces soirs où le ciel devient rouge, où l'on aimerait tout oublier, avec ces minimes chances que rien ne bouge. Ces soirs où je m'étais mis à chercher qui j'étais. Je voulais tout faire pour devenir cet homme qui voulait tout, des femmes et des joints. J'ai eu droit à une belle mort, alité. Il suffirait de grandir assez pour se rendre vite compte que "le joint, le cul lasse".

«J'ai laissé passer les semaines qui filaient bien plus vite que le vent dans mes entrailles.»

Et j'ai fini par me rendre compte que cet homme, ce n'était pas moi. Je suis redevenu cette chose, ce garçon enviée. Beau, on ne sait pas. Charmeur des coeurs saignants qui s'accrochent à ses mots, enviant la chaleur de ses bras, celle qui les apaise et les traine en dehors des batailles. Cette chose, c'est la haine qui les amène tous là. Sur ces bras coulaient le sang qu'elles ne gardaient pas.

«Elles s'abandonnaient, s'endormaient, elles mourraient dans ses bras, et brulaient comme la clope qui se consumait entre ses doigts.»

Finalement, je m'étais pas trouvé. J'ai essayé de devenir la fleur de saison, qui aux premières lueurs de mai, attend la floraison, découvrant les odeurs de lys. Dès le mois de septembre, j'suis tombée, j'ai sombré. J'ai pas su me relever. Je suis introuvable. Je me suis introuvable.

31 août 2007

Enfin !

Publié par Jehial


Mon job d'été est enfin terminé, je pars pour le week-end.

*A Orleans*

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