Jehial

Off

29 décembre 2007

Pfiou, c'est moi.

Publié par Jehial

Moi aussi j'm'y met, parce que lui m'a donner envie d'écrire des news.

Que dire, que dire, j'suis en mode routard là.
Je suis partit de Paris le 23 décembre, après un faisage de sac à l'arrache. Direction La Favrie Normande. Posé jusqu'a l'arrivée, soirée posé avec les darons. Le lendemain, la venue de toute la famille pour Noël,  les frères et soeurs la rencontre de Johann, ma tite Anaïs de 14 mois, l'ambiance de la famille quoi, avec ingrédients perso ;).
De nouveau en départ le 26 décembre pour rejoindre la douce bretagne qu'offre Dol, à 12km de Saint-Malo, et l'installation informatique de mamie \o/ Cela dit très bon endroit en ce qui concerne l'hibernation que j'avais entrepris en Normandie.




Retour à la vie trépidante demain, lorsque j'aurais rejoins mes fidèles.
J'attends que ça. Si longtemps qu'on attendait d'être reunis.
Huhu.

Happy New Year.

16 décembre 2007

Inspiration, expiration...

Publié par Jehial





Pourquoi se prendre la tête hein ? Autant prendre les choses du bon côté des choses. Se dire que ça passera, que demain est un autre jour, que le sang qui coule dans nos veines s'écoule encore et encore dans chaque partie de notre corps en nous caressant chaque fruit de notre humanité. Je respire à présent et mon cœur se laisse aller. Quand je ferme les yeux, je me vois danser, des pas menés par cette douce chanson, le balancement de mes épaules, si fluide et si paresseux. Je me sens étrangement bien, laissant ma patience dormir un peu, je m'arrête de mourir pendant quelques minutes et je me laisse accepter cette vie.


9 décembre 2007

Essayer de chercher.

Publié par Jehial

Une fois de plus je me suis demandé qui j'étais. J'ai réfléchis, je me suis posé des questions. J'ai même essayé de me rappeler, de chercher dans cette mémoire qui aimerait tant s'effacer parfois. J'étais assis là, sur le matelas, le dos nu contre une taie d'oreiller en flanelle, mes pensées valsaient, mais la danse s'est tout à coup arrêter. Je me suis levé subitement et après avoir dégagé la plante de la porte de l'armoire, je l'ai ouverte et j'ai sèchement pris une pile. C'était celle du haut, donc forcement les derniers ajouts. Quelques papiers administratifs du genre acte de naissance, convocation aux examens, en gros, de quoi vérifier mon identité nationale. J'ai trié tout ça puis j'ai pris une autre pile. Celle ci était d'autant plus significatif que plusieurs photos sont tombées. Je me suis assis et j'ai repris mon aventure. J'ai feuilleté ces choses, comme si mes doigts ne voulaient pas les toucher. Des écrits, des chansons, des lettres d'amour, des dessins. Beaucoup de dessins. Puis ce cahier.. que j'ai traîné avec moi pendant quelques temps, « mon cahier pense » comme si je déléguais toutes les responsabilités quant au contenu des pages. Des choses si noires mais si vielle à présent. Quasiment cinq ans et j'ai comme une sensation que ces mots n'était pas de moi, mais pourtant, je me rappel les avoir écris. Je n'arrive plus à me situé parmi ces évènements, qui je crois, ont été le commencement de Johan en tant qu'être indépendant. Je me suis empressé de lire tous les écrits que j'ai pu retrouver, comme si je pouvais revoir la façon dont je me suis construit.

  «  Ma souffrance est tellement forte que la colère m'envahit, l'envie que mes mains se transforment en flingue est grande. Pour qu'avec elle, je puisse me caressé la tempe de la tête, rien que pour libérer les mots. »

Ensuite, je suis passé à une pile particulière, plus ou moins délicate mais qui reflète pas mal ce qu'a été mon identité lors de ces deux dernières années. Des photos, plus d'une vingtaine de billet sncf, des photomatons, des lettres... et d'autres lettres que je n'ai jamais pu envoyé. Des feuilles blanches ou à carreaux avec de gros cœurs et de jolies phrases d'amour écrit de la main gauche, juste parce que ça nous faisait rire de se les montrer par caméra. D'ailleurs , j'aime voir qu'il y a que les miennes, imaginant, peut-être, que les siennes sont encore ailleurs... Il y a aussi des posthites, des enveloppes renseigné du destinataire par « Une blonde »..des tags de pseudo, des papiers de la caf, le guide du beau-frère... Des éléments qui me sont cher, qui compte pour moi. Je l'ai rangé dans cette boite que j'avais décoré au feutre. J'aimerais tellement pouvoir parler de tout ça, mais j'en suis incapable seul. Quoiqu'il en soit, les larmes qui viennent saler ma bouche sont bien les preuves de ce que je suis, et de ce que d'autre me sont.

28 novembre 2007

Petite impro.

Publié par Jehial


Une petite improvisation mélée à du Benighted, histoire de. Bonne écoute.
(Précision: c'est à l'arrache donc pas très propre ni précis, puis c'est une nouvelle distortion)

24 novembre 2007

Vista n'a qu'a bien se tenir.

Publié par Jehial


Screen d'Ubuntu 7.10 sous Compiz-Fusion



<< Page précédente | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | Page suivante >>

Créer un podcast