Jehial

Off

9 mars 2009

Découpé en morceaux.

Publié par Jehial

http://jehial.cowblog.fr/images/tripjehial.jpg








Un souhait jamais exhausser, un espoir pour ne plus y croire, un souvenir qui fait souffrir, un vent qui ne devient que néant, une vérité tante oublier, une mort en or, un soupir pour tout finir, une vie anéanti, un amour qui dure toujours, une pensée envolée.
 

Un évènement qui disparait avec le temps, une souffrance qui n'est qu'ignorance, une volonté effacer, une détresse qui n'est devenu que tristesse, un avenir pour souffrir, une liberté retirer, un but interrompu, une terre éphémère, un adieu venant des cieux.

 

23 janvier 2009

Nuance d'incandescence.

Publié par Jehial

C'est comme ça que vient l'inspiration. Elle se montre sans vraiment trop comprendre pourquoi. Alors, je met de nouveau ma prose à l'essai, histoire de savoir ce qu'elle propose. Des mots banales, parfois inutiles mais qui, en vain, reflètent ma façon de voir les choses et ma façon de tourner autour du pot. Bien sûr, j'ai des choses à dire, et bien sûr, je ressens le besoin de les dire. Mais il faut savoir s'adapter à son propre mode de communication interne. Et combien savent que c'est dur de parler. Et C'est surtout dur de dire l'essentiel. Et puis comment redéfinir l'usage d'un blog ? Est-ce pour soi et uniquement pour soi ? J'en doute sincèrement, sinon, j'écrirais tout ça sur un bout de papier qui finirait à la poubelle dans quelques mois.

J'oubliais : Setsuwan est à présent Jehial. Toutes les archives sont disponible ici-même.

4 décembre 2008

Jouons.

Publié par Jehial

C'est le jeu du chat et de la souris, le jeu de ceux qui veulent aimer mais qui n'y sont pas préparés, le jeu qui tourne en rond et qui n'en finit plus.
http://www.grapho-illustrateur.com/blog/images/2007/mai%202007/chat-souris.jpgTu sais, on a pas le droit, mais c'est si bon quand on franchit les interdits. Oui, pourtant nous le savons, mais tu aimes te faire désirer et moi j'aime te désirer. Ton regard fixant le mien, des mots sans son, des mains qui se frollent, et tout se chamboule. C'est agaçant mais c'est si bon quand tout dérape, nous ne sommes plus maître de quoi que ce soit. 


28 juin 2007

Ces mots m'habitent depuis si longtemps?

Publié par Jehial




"Comme chaque soir, je suis allongé dans mon lit, ma journée ne semble pas réelle, tout est si vide, si loin, je ne sais pas pourquoi je vis, je vois toutes ces images en moi, m'appartiennent-elles, je n'en sais rien, je ne sais pas où es ma vie dans ce monde, je ne vois plus rien, mes yeux se troublent, je comprends pourquoi, mes yeux sont remplis de larme, je ne sais pas qui je suis et cela me blesse, je ne vis pour personne, même pas pour moi, je me sens seul dans ce lit, je suis seul toute la journée et tout le monde s'en moque, je passe ma journée à errer, dans la foule, à chercher quelqu'un comme moi, je ne cherche même pas en fait, j'attends que l'on me prenne, j'attends peut-être que la mort me prenne, qu'elle me libère de ce manque affectif en moi, je sui une loque vide, sans esprit, je suis dans mon lit et je pleure, ça me fait mal de pleurer car ces larmes viennent de mon âme, elles sont si douloureuses, elles prouvent ma souffrance intérieure, elles ne sont que le reflet de mon mal-être, je n'ai personne qui s'intéresse à ces larmes, tout le monde ne vit que pour lui, je ne suis pas tout le monde, je suis différent, je suis seul, et cela ne plait pas, on me rejette, parfois violemment, on se moque de moi, on m'insulte, les mots font mal, on ne me connaît pas, on me juge, j'avais oublié cela, je ne vis pour personne, mais tout le monde me haït, cette sensation de rejet est si profonde, ou que j'aille on me juge sur ce que les gens croient, sur ce que je ne suis pas, on m'a jugé à tort on me tue de l'intérieur."

-Ecris à 14 ans (7 juin 2002)-




Et tu crois que ça m'amuse.. Tu crois que j'y prends plaisir.. Tu oses imaginer que c'était mon attention... Tu arrives même à penser que j'y suis insensible..  Mais, je t'emmerde, j'emmerde ce que tu es. Je détruis tout ce que m'entoure et je l'assume, je hais tout ce qui me touche et l'envie de cracher dessus deviens de plus en plus forte, j'ai envie de jouer encore et encore, c'est ce que tu veux non? Eh bien, je vais continuer à tous détruire. Il ne restera plus rien, il ne restera pas même ta pitié ou ta compassion. Rejoins mon jeu et on verra. Tu ne seras pas déçu, il ne peut y avoir que du piquant.. Alors tu veux jouer à souffrir ? Tu veux jouer à casser les derniers fils qu'il me reste, je t'attends. Ne me fait pas faux bond, crois-moi que je vais pas te laisser prendre le dessus. Crois-moi que c'était la dernière fois que tu violais mon bonheur. Tu veux joué au couteau, tu veux joué à saigné comme un cochon? Va y avoir du sang alors, mais vraiment, laisse moi te dire que c'est finit pour toi, c'est finit, tu es un homme mort. Ah, je parle comme un adolescent perturbé ? C'est toi qui m'a fait être ainsi. Tu n'aurais pas pu prendre les choses d'une autre façon? Accepté les choses sans trop te poser de questions? Tu m'as laissé sortir quand tout était trop tard et à présent je rame pour me créer cette place que tu as eu du mal à me laisser et en prime je dois régler tes maux. C'est finit, je ne te supplierais plus de me laisser tranquille, je ne te supplierais plus. Tu vas saigner.. Tu vas saigner et tu va voir le sang couler entre tes doigts. Tu vas voir les bleus tapisser ton torse, je te jure cette fois-ci c'est moi qui vais gagné. Tu es pire que quiconque qui a essayé de me rabaisser, toi tu m'as détruit et tu m'as laisser pour souvenir les malheurs qui ont construit mon enfance. Tu m'as fait du chantage.. Tu m'as demandé de haïr des personnes, de les blesser.. Et il a fallut en plus que tu me demande de me racheter, de les adorer. La vie n'est qu'un vaste terrain de jeu pour toi, hein? Forcement ça t'amuse de me voir patauger.. c'est tout, je vais gagner et tu vas crever.

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | Page suivante >>

Créer un podcast